Newsletter 6 / 2018

CherEs sympathisantEs de FIAN,

Une année bien remplie se termine. Ce bulletin d’information vous donnera quelques aperçus, qui seront suivis d’informations détaillées lors de la publication de notre rapport annuel. Nous aimerions profiter de cette occasion pour vous remercier de votre soutien qui a rendu possible notre engagement en faveur du droit à l’alimentation. Nous espérons bien sûr que nous pourrons continuer à compter sur votre soutien, en restant ou en devenant membre, ou en continuant à soutenir financièrement notre travail.

C’est dans cet esprit que nous vous souhaitons une très belle fin d’année et, surtout, une nouvelle année pleine de perspectives réjouissantes !

Le Comité de FIAN Suisse


Liebe Unterstützerinnen und Unterstützer von FIAN,

ein arbeitsreiches Jahr geht zu Ende. Ein paar Einblicke gibt Ihnen dieser Newsletter, umfassende Informationen folgen dann im Jahresbericht. An dieser Stelle danken wir Ihnen herzlich dafür, dass Sie mit Ihrer Unterstützung unser Engagement für das Recht auf Nahrung ermöglichen. Auch im nächsten Jahr stehen gewichtige Aufgaben an, um Achtung, Schutz und Erfüllung der Menschenrechte zu gewährleisten.Wir hoffen natürlich, dass wir weiter auf Ihre Unterstützung zählen dürfen, sei es, indem Sie Mitglied bleiben oder Mitglied werden oder unsere Arbeit weiter finanziell unterstützen.

In diesem Sinne wünschen wir Ihnen einen guten Abschluss dieses Jahres und insbesondere ein Neues Jahr mit vielen erfreulichen Perspektiven!

Der Vorstand von FIAN Schweiz

> L’Observatoire 2018: Dématérialisation de l’alimentation
> Watch 2018: Digitalisierung löst das Hungerproblem nicht
> Convention de l’ONU sur les sociétés transnationales et les droits de l’Homme : Le premier projet a fait l’objet de discussions intensives
> UN-Abkommen zu Konzernen und Menschenrechten: Der erste Entwurf wurde intensiv diskutiert
> Accaparement de terres en Sierra Leone : FIAN appelle la Suisse à l’aide
> Landraub in Sierra Leone: FIAN ersucht die Schweiz um Hilfe
> Le monde dit oui aux droits des paysannes et des paysans – cette déclaration doit maintenant se traduire en actes
> Die Welt sagt Ja zu den Rechten von Kleinbauern und -bäuerinnen – jetzt müssen den Worten Taten folgen

 

Ölpalmplantage von Socfin in Sierra Leone / plantation de palmiers à huile de Socfin en Sierra Leone ((c) Maja Hitaij)

L’Observatoire 2018: Dématérialisation de l’alimentation

La nourriture fait l’objet d’échanges depuis des siècles, mais l’échec récent à réguler les marchés a entraîné sa complète marchandisation. Ce phénomène contribue à une dépossession des ressources productives ; il affecte les communautés paysannes, nuit à l’environnement et modifie notre alimentation de la pire manière.

Par ailleurs, trois dynamiques intimement liées – la dématérialisation, la numérisation et la financiarisation – altèrent aujourd’hui tant la nature des biens négociables que celle des marchés sur lesquels ils sont échangés. À l’évidence, nos systèmes alimentaires se trouvent à la croisée des chemins. L’échec du système agroindustriel est désormais largement reconnu, y compris par le Forum économique mondial et d’autres acteurs qui, jusque-là, étaient les porte-drapeaux de la Révolution verte. Malgré leurs récentes réprobations, ces mêmes organisations et acteurs prétendent maintenant disposer d’une nouvelle « solution », présentée sous le nom de « quatrième Révolution industrielle ». Cette soi-disant « pensée novatrice » propose une fusion de technologies qui brouille les lignes entre les sphères physique, numérique et biologique. Ce faisant, elle introduit un nouveau discours vis-à-vis duquel nous devrons toutes et tous nous positionner pour faire face aux menaces à venir.

Dans ce contexte, l’édition 2018 de « l’Observatoire du droit à l’alimentation et à la nutrition » explore les répercussions de la dématérialisation, de la numérisation et de la financiarisation sur nos systèmes alimentaires. Elle examine comment ces processus modifient la conception du marché de l’alimentation et comment ils affectent les habitudes de consommation dans les centres urbains et au-delà.

Pour en savoir plus :
l’édition 2018 de l’Observatoire intitulée « Dématérialisation de l’alimentation : aborder de front les défis de l’ère numérique »
le supplément de l’Observatoire intitulé « Alimentation immatérielle : Contradictions d‘une ère numérique »

Watch 2018: Digitalisierung löst das Hungerproblem nicht

Politik und Agrarindustrie versprechen, dass neue Technologien wie die Digitalisierung den Hunger besiegen können. FIAN und zahlreiche andere Organisationen legen im «Right to Food and Nutrition Watch» 2018 dar, wie die Digitalisierung die Auseinandersetzung um Ressourcen sogar verschärfen und eine dezentrale Nahrungsmittelversorgung gefährden kann.

Die aktuelle Ausgabe des «Watch» untersucht, welche Folgen es haben wird, wenn Finanzmärkte und Agrarkonzerne mit Hilfe der Digitalisierung die Kontrolle über Ressourcen wie Boden, Wasser und Saatgut übernehmen und die Produktion von Nahrungsmitteln vom Menschenrecht auf Nahrung abgekoppelt wird.

«Für die Mehrzahl der bäuerlichen Betriebe bietet die Digitalisierung keine Lösungen an, sondern verschärft noch die Probleme», sagt Philipp Mimkes, Geschäftsführer von FIAN Deutschland. Die Digitalisierung kann die Spaltung zwischen armen Bauerngruppen und kapitalkräftigen Agrarunternehmen weiter vertiefen und die Konkurrenz um Land, Wasser und Saatgut weltweit noch verschärfen. «Wichtige Gründe für die hohen Hungerzahlen – die Diskriminierung von Frauen und ländlicher Bevölkerung, Landgrabbing und die erzwungene Öffnung der Agrarmärkte in Entwicklungsländern – lassen sich nicht technisch lösen», so Mimkes. Dies zeigt sich beispielsweise in Südamerika, wo die Hungerzahlen seit 2012 wieder steigen. In den letzten fünf Jahren waren dort 2.2 Millionen Menschen zusätzlich von schwerem Hunger betroffen. Gleichzeitig produziert die dortige hochtechnisierte Agrarindustrie immer gewaltigere Mengen, die jedoch überwiegend exportiert werden – 2016 alleine 70 Millionen Tonnen Getreide und 120 Millionen Tonnen Soja.

mehr:
Ausgabe 2018 des «Watch» unter dem Titel «When Food Becomes Immaterial: Confronting the Digital Age»
Beilage zum Watch unter dem Titel «Immaterial Food: Contradictions of a Digital Era»

Convention de l’ONU sur les sociétés transnationales et les droits de l’Homme : Le premier projet a fait l’objet de discussions intensives

La quatrième session sur la rédaction de la Convention des Nations Unies sur les sociétés transnationales et les droits de l’Homme s’est tenue à Genève en octobre. Pour la première fois, les États et les organisations de la société civile ont discuté pendant une semaine d’un projet concret du traité. FIAN Suisse a assisté à toute la session avec d’autres représentant.e.s de FIAN et en a publié un rapport détaillé (en allemand).

L’accord met l’accent sur la prévention des abus des droits humains par les entreprises (en particulier grâce à une diligence raisonnable), sur l’amélioration de l’accès des victimes à la justice ainsi que sur l’assistance et la coopération juridique internationale. Un consensus se dégage sur de nombreuses questions, mais pas encore sur certaines qui sont fondamentales. Cependant, les discussions intensives sur chaque article ont créé une base riche pour l’élaboration du prochain projet.

Un grand nombre d’États était encore discret et ne s’exprimait pas. La Suisse, quant à elle, a pris la parole tous les jours pour poser des questions et faire des suggestions. Celles-ci touchaient principalement à la relation entre différents articles et les Principes directeurs de l’ONU relatifs aux entreprises et aux droits de l’Homme. FIAN Suisse se réjouit que la Suisse ait participé pour la première fois au contenu des discussions.

Sur la base de tous les commentaires reçus et des consultations informelles, le président du groupe de travail préparera le deuxième projet l’année prochaine et le publiera avant la fin juin 2019. Lors de la 5e session en octobre 2019, les États et la société civile poursuivront les négociations sur ce projet.

Pour en savoir plus :
Rapport de FIAN Suisse sur la 4ème session du Groupe de travail intergouvernemental de l’ONU
Projet de rapport officiel sur la 4ème session du Groupe de travail intergouvernemental
Premier projet de traité (état d’avancement de la 4ème session)
Le site Internet de FIAN Suisse sur le traité (en allemand)

UN-Abkommen zu Konzernen und Menschenrechten: Der erste Entwurf wurde intensiv diskutiert

Im Oktober fand in Genf bereits die vierte Session zur Ausarbeitung des UN-Abkommens zu Transnationalen Konzernen und Menschenrechten statt. Zum ersten Mal diskutierten Staaten und zivilgesellschaftliche Organisationen während einer Woche über einen konkreten Entwurf des Abkommens. FIAN Schweiz war mit andern FIAN-VertreterInnen die ganze Zeit dabei und hat nun einen ausführlichen Bericht veröffentlicht.

Im Zentrum des Abkommens stehen die Prävention von Menschenrechtsverstössen durch Unternehmen (insbesondere durch das Instrument der Sorgfaltsprüfung), der verbesserte Zugang zum Recht für Opfer und die internationale Rechtshilfe und Zusammenarbeit. Zu vielen Fragen zeichnet sich Konsens ab, zu verschiedenen Grundsatzfragen aber noch gar nicht. Die intensiven Diskussionen über jeden einzelnen Artikel haben aber eine reichhaltige Grundlage geschaffen, um den nächsten Entwurf auszuarbeiten.

Ein Grossteil der Staaten gab sich noch bedeckt und äusserte sich nicht. Die Schweiz hingegen ergriff täglich das Wort, stellte Fragen und machte Hinweise. Diese bezogen sich meist auf das Verhältnis einzelner Artikel zu den UN-Leitprinzipien für Wirtschaft und Menschenrechte. FIAN Schweiz ist äusserst erfreut darüber, dass sich die Schweiz nun zum ersten Mal inhaltlich an den Diskussionen beteiligt hat.

Der Arbeitsgruppenvorsitz wird aufgrund all der eingegangenen Stellungnahmen und informeller Konsultationen im nächsten Jahr den zweiten Entwurf ausarbeiten und bis Ende Juni 2019 veröffentlichen. An der 5. Session im Oktober 2019 werden die Staaten und die Zivilgesellschaft über diesen Entwurf weiter verhandeln.

mehr:
Bericht von FIAN Schweiz zur 4. Session der Zwischenstaatlichen UN-Arbeitsgruppe
Entwurf des offiziellen Berichts zur 4. Session der Zwischenstaatlichen UN-Arbeitsgruppe
erster Entwurf des Abkommens (Stand 4. Session)
Themenseite von FIAN Schweiz zum Abkommen

Accaparement de terres en Sierra Leone : FIAN appelle la Suisse à l’aide

En 2011 et 2013, le gouvernement de Sierra Leone, pays d’Afrique de l’Ouest, a conclu des baux d’une durée de 50 ans pour 12 800 hectares de terres agricoles avec le conseil tribal et les propriétaires individuels de la zone «Malen». Le gouvernement a ensuite sous-loué ces terres à la Socfin Agricultural Company Sierra Leone (SAC). En 2018, le SAC avait étendu son contrôle à plus de 18 000 ha, soit les deux tiers de la superficie de Malen.

Dès le départ, les communautés et les propriétaires concernés ont signalé de graves lacunes et infractions à la loi en matière d’acquisition des terres : Manque de consultation et d’information préalables ; manque de transparence et corruption massive ; pressions, intimidations et menaces ; absence de consentement libre, préalable et informé de la part des personnes concernées ; indemnisation insuffisante et, dans certains cas, absence de paiement ; arpentage et marquage inadéquats des terres ; conditions de travail extrêmement mauvaises dans les plantations.

Les villages touchés sont maintenant entourés de plantations de palmiers à huile et disposent de trop peu de terres arables. Cette perte significative de terres et de revenus n’est compensée que par un petit nombre d’emplois mal payés dans les plantations. La situation en matière de revenu, de nutrition et de santé s’est considérablement détériorée, et de nombreux hommes ont quitté leur famille à la recherche d’un emploi.

SAC est une filiale de la multinationale Socfin, qui exploite des plantations de palmiers à huile et de caoutchouc en Afrique et en Asie. Enregistrée au Luxembourg, le siège opérationnel de Socfin se situe néanmoins à Fribourg, en Suisse. Plusieurs filiales y sont également implantées, en plus de ses bureaux à Bruxelles. Socfin est donc une entreprise bénéficiant de liens étroits avec la Suisse.

Depuis de nombreuses années, les communautés touchées résistent sans succès à cette situation humiliante. Elles sont pour ce faire accompagnées et soutenues, entre autres par FIAN Belgique et l’Oakland Institute (USA). En août 2018, afin de désamorcer le conflit de plus en plus menaçant, le gouvernement, le chef tribal et les personnes touchées ont envisagé de mener une enquête indépendante afin de trouver une solution pacifique au problème. Afin de soutenir cette initiative,  FIAN Suisse, l’organisation sierra-léonaise Green Scenery et FIAN Belgique ont envoyé une lettre au Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), lui demandant d’encourager le gouvernement de Sierra Leone à mener cette enquête indépendante et à lui offrir son soutien.

Malheureusement, la première réaction du DFAE a été de rejeter cette demande. Avec l’aide d’organisations partenaires, FIAN Suisse poursuivra son dialogue avec le DFAE en 2019 et demandera des mesures fondées sur l’obligation de protection des droits humains de la Suisse.

Pour en savoir plus :
Page thématique Landgrabbing by SOCFIN in Sierra Leone – documentation sur le site de FIAN Belgique
Lettre du 01.11.2018 de FIAN Suisse, Green Scenery et FIAN Belgique au DFAE

Landraub in Sierra Leone: FIAN ersucht die Schweiz um Hilfe

2011 und 2013 schloss die Regierung des westafrikanischen Landes Sierra Leone Pachtverträge über 12’800 Hektaren Landwirtschaftsland mit dem Stammesrat und einzelnen Landbesitzern des Gebiets «Malen» für 50 Jahre ab. Anschliessend übergab die Regierung das Land der Firma Socfin Agricultural Company Sierra Leone (SAC) in Unterpacht. Bis 2018 dehnte SAC die Kontrolle auf über 18’000 ha aus – zwei Drittel der Fläche von Malen.

Die betroffenen Gemeinschaften und Eigentümer wiesen im Zusammenhang mit der Landaneignung von Beginn weg auf schwerwiegende Mängel und Rechtsbrüche hin: Mangelnde vorgängige Konsultation und Information; fehlende Transparenz und massive Korruption; Druck, Einschüchterung und Drohungen; die fehlende freie, vorgängige und informierte Zustimmung von Seiten der Betroffenen; ungenügende Entschädigungen und deren z.T. fehlende Auszahlung; ungenügende Vermessung und Vermarkung des Landes; extrem schlechte Arbeitsbedingungen auf den Plantagen.

Die betroffenen Dörfer sind nun von Ölpalmplantagen umzingelt und haben zuwenig eigenes Ackerland. Dem extremen Verlust an Land und Einkommen steht nur eine geringe Anzahl schlecht und willkürlich bezahlter Arbeitsplätze auf den Plantagen gegenüber. Die Einkommens-, Ernährungs- und Gesundheitssituation haben sich erheblich verschlechtert, viele Männer haben auf der Suche nach Arbeit ihre Familien verlassen.

SAC ist eine Tochterfirma des multinationalen Konzerns Socfin, der in Afrika und Asien Ölpalm- und Kautschukplantagen betreibt. Socfin ist in Luxemburg registiert, hat jedoch, neben Büros in Brüssel, den operativen Hauptsitz in Fribourg in der Schweiz, wo auch verschiedene Tochterfirmen niedergelassen sind. Damit ist Socfin ein Unternehmen mit engem Bezug zur Schweiz.

Seit vielen Jahren wehren sich die betroffenen Gemeinschaften gegen die erniedrigende Situation, bis anhin ohne Erfolg. Sie werden dabei u.a. von FIAN Belgien und dem Oakland Institute (USA) begleitet und untersützt. Um den immer bedrohlicheren Konflikt zu entschärfen, wurde im August 2018 zwischen Regierung, Stammesführern und Betroffenen die Durchführung einer unabhängigen Untersuchung als Basis für eine friedliche Problemlösung ins Auge gefasst. Um dieser Absicht zum Durchbruch zu verhelfen, ersuchten FIAN Schweiz, die sierraleonische Organisation Green Scenery und FIAN Belgien das Eidgenössische Departement für auswärtige Angelegenheiten EDA in einem Brief, die Regierung von Sierra Leone zur Durchführung der unabhängigen Untersuchung zu ermutigen und hierzu Unterstützung anzubieten.

Leider hat das EDA diese Bitte in einer ersten Reaktion abgelehnt. FIAN Schweiz wird 2019 zusammen mit Partnerorganisationen den Dialog mit dem EDA fortführen und – basierend auf der menschenrechtlichen Schutzpflicht der Schweiz – um Massnahmen ersuchen.

mehr:
Themenseite Landgrabbing by SOCFIN in Sierra Leone – documentation auf der Website von FIAN Belgien
Brief vom 01.11.2018 von FIAN Schweiz, Green Scenery und FIAN Belgien an das EDA

Le monde dit oui aux droits des paysannes et des paysans – cette déclaration doit maintenant se traduire en actes

L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté le 17 décembre 2018 à New York la « Déclaration sur les droits des paysans et des autres personnes travaillant dans les zones rurales » (UNDROP). Elle définit en 28 articles les droits les plus importants qui doivent être octroyés aux paysannes et paysans du monde entier. La Suisse s’est prononcée en faveur de la Déclaration dès le stade des négociations, donnant à New York un signe clair en faveur des droits des populations rurales.

Mais le vrai travail commence maintenant : la Déclaration fournit aux Etats les instruments d’une politique qui renforce les droits des paysannes et des paysans sur leurs terres, leurs semences ou leurs savoirs traditionnels. Elle est un outil efficace de lutte contre la faim et la pauvreté. Mais ces droits doivent être reconnus et mis en œuvre afin que la Déclaration ne reste pas lettre morte. Pour cela, un engagement des organisations et des réseaux de la société civile au niveau national, mais aussi de la part des Etats eux-mêmes est indispensable.

Pour en savoir plus :
article
sur le site

Die Welt sagt Ja zu den Rechten von Kleinbauern und -bäuerinnen – jetzt müssen den Worten Taten folgen

Am 17. Dezember 2018 verabschiedete die Generalversammlung der Vereinten Nationen in New York eine wegweisende Deklaration zum Schutz der Rechte von Bauernfamilien und anderen Menschen, die auf dem Land arbeiten (United Nations Declaration on the Rights of Peasants and Other People Working in Rural Areas UNDROP). Auch die offizielle Schweiz hat sich an vorderster Front für diese Deklaration eingesetzt. Nun gilt es, die darin verbrieften Rechte in die Tat umzusetzen.

Doch die eigentliche Arbeit beginnt jetzt: Die Deklaration gibt den Staaten die Instrumente für eine Politik in die Hand, die die Rechte von Bauern auf ihr Land, ihr Saatgut oder ihr traditionelles Wissen stärkt und so Hunger und Armut effizient bekämpft. Doch damit die UNDROP kein Lippenbekenntnis bleibt, müssen diese Rechte auch geschützt und umgesetzt werden.

mehr:
Artikel auf der Website


FIAN Suisse/Schweiz
Combattre la faim avec les droits humains / mit Menschenrechten gegen den Hunger und für ein Leben in Würde

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